OBJECTIF-RALLYE-HISTORIQUE

Florian Bréjot, 33 ans, vient d’ouvrir son propre garage. Titulaire d’un CAP mécanique automobile, il a travaillé plusieurs années chez Iveco à Varennes-Vauzelles et au garage Jacquey à Nevers, où il s’est découvert la passion de réparer les voitures anciennes.

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L’envie de voler de ses propres ailes se faisant ressentir, Florian Bréjot a fait le choix d’implanter son garage dans la commune où il vit. C’est donc chez lui, dans une dépendance, qu’il a installé son garage Auto-Flo 58, au 4, rue des Peupliers.
Florian Bréjot répare et entretient toutes marques de véhicules ainsi que les 4×4 et les véhicules anciens. Il effectue la pose d’attelage et divers accessoires.

Embaucher un apprenti

Ce nouvel entrepreneur langeronnais souhaite évoluer d’ici deux à trois ans, tout d’abord en embauchant un apprenti pour l’aider, puis en se dotant du matériel nécessaire pour assurer, plus tard, la géométrie et le parallélisme des véhicules.

« Je commence à être connu, le bouche-à-oreille fonctionne bien. Les clients viennent de différentes communes, même de Nevers. Il y a du potentiel, l’idéal serait de trouver un terrain à Langeron pour installer un garage plus grand. »

Laissez-nous clarifier les choses dès le départ : ce n’est pas une véritable Ferrari F50 !

La voiture est en réalité une Pontiac Fiero de 1985. Mais ce n’est pas une Fiero ordinaire puisqu’équipée d’un moteur V6 monté à l’arrière. On vous explique.

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— Sport Auto (@SportAutoMag) June 17, 2023

Une personnalisation peu ordinaire

Selon la description de l’annonce, ce projet de fausse Ferrari a nécessité un travail considérable. Le châssis d’origine de la Fiero a été étiré et élargi avant de recevoir des panneaux de carrosserie en fibre de verre.

Le museau de la voiture a été allongé de manière significative pour ressembler davantage à celui de la véritable F50. La partie arrière, plus courte, vient sans doute de l’absence de V12 Ferrari…

Un « petit » moteur

Malgré les modifications esthétiques apportées à l’extérieur, le moteur d’origine de série, un V6 Pontiac de 2,8 litres, se trouve toujours sous le capot.

Monté transversalement et dégageant 140 ch, le bloc est couplé à une boîte automatique à trois vitesses, contrairement aux anciennes Fiero à transmission manuelle.

Pour les amateurs de voitures insolites, cette Fiero modifiée offre une occasion rare de posséder une création unique en son genre. Le véhicule était en vente sur Cars & Bids avec des enchères qui se sont terminées le 28 juin 2023.

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Sur la voie de la transition énergétique, et d’un monde décarboné, la voiture électrique a le vent dans le dos. Le constructeur de voiture Renault, pionnier en la matière, s’est affirmé dès 2012 sur ce créneau en lançant la Zoe E-Tech 100 % électrique. Cette reine de la polyvalence, qui se recharge sur toutes les infrastructures ad hoc, est la voiture pratique par excellence. Dotée d’une autonomie de près de 400 km, elle est idéale pour des usages citadins grâce à son dynamisme et à sa réactivité, à sa compacité, qui facilite les manœuvres et les parcages, et à son style urbain chic et passe-partout. En sus, la décélération et le freinage régénératif permettent d’optimiser son autonomie. Ajoutez une quinzaine d’heures de recharge sur une prise domestique renforcée (et 1h05 sur une borne de charge rapide), et vous obtenez un quatre roues incontournable. 

En ville, la Zoé a pourtant une sacrée concurrente. Désormais disponible en version 100 % électrique, la Twingo est en effet parfaitement adaptée à la vie citadine : maniable, elle offre le meilleur rayon de braquage de sa catégorie, dispose d’une boîte de vitesse automatique et de l’autonomie qu’il faut (270 km en cycle urbain) avec une capacité de recharge rapide (80 km en seulement 30 mn). Son conducteur appréciera aussi son silence et son confort. 

Dans la veine conduite décomplexée ou jeune conducteur autonome, Renault s’est aussi lancé sur le créneau des véhicules intermédiaires. Pratique, ludique et astucieux, voici le Twizy E-Tech 100% électrique : ce quadricycle urbain sans permis, disponible en version bi-place ou utilitaire (version Cargo), est un modèle de compacité et de maniabilité. Un engin à garer et à glisser partout et entre -presque- toutes les mains. 

Enfin, pour la ville, on n’oubliera pas non plus les modèles hybrides rechargeables. A condition d’effectuer chaque jour une distance de moins de 50 km pour se rendre au bureau, ceux-ci sont fortement recommandés : du côté des SUV urbains, la Renault Captur rentre dans ce cadre.

Avant d’opter pour un véhicule électrique, citadin ou autre, pensez cependant à bien circonscrire vos besoins. Commerciaux, représentants et autres conducteurs gourmands en kilomètres, abonnés aux autoroutes ou aux longues routes de campagne, préférez un véhicule avec une forte autonomie, car la vitesse va augmenter la consommation d’électricité. À ce titre, les hybrides classiques (Renault Clio E-Tech par exemple) peuvent encore avoir un attrait, même avec une autonomie électrique limitée, l’apport en watts servant à économiser de l’essence. Du côté des SUV full hybrid, l’Austral et l’Espace ont de quoi contenter les plus exigeants des conducteurs avec leurs grands volumes et leurs moteurs de nouvelle génération de 200 CV associant puissance et efficience énergétique. Quant aux amateurs de performance, ils craqueront pour la sportive Arkana !  

Attention toutefois à étudier aussi l’autonomie réelle des batteries au regard du climat de sa région d’appartenance : la voiture électrique ayant moins de disponibilité en hiver -jusqu’à 30% de consommation d’énergie par temps froid-, rien ne sert de parader en station au mois de décembre avec un SUV de grande taille ! À noter qu’en matière d’économie (et de prix), la Dacia Spring est un modèle du genre : elle enregistre la plus faible consommation d’électricité parmi les petits SUV avec 13,9 kWh/100 km.

Pour le reste, et au-delà des aspects de budget, de consommation, d’autonomie et de puissance, la praticabilité fait encore figure de critère de choix numéro 1. Famille nombreuse ou jeune couple, loisirs, 4×4 ou utilitaire, le choix du véhicule est avant tout lié aux usages qu’on en fait. Citadine et business, on l’a vu, la voiture est aussi et avant tout l’espace roulant des familles. Dans la catégorie SUV, l’Espace -le bien nommé- promet d’embarquer confortablement jusqu’à 7 personnes dans un habitacle premium et technologique, quand le Captur met en avant de grands volumes de coffre, avec un record de 536 litres grâce à sa banquette arrière qui coulisse. Modèle familial par excellence et qui a fait ses preuves, le Kangoo joue la carte de la flexibilité avec un espace modulable et pratique de 775l de volume de coffre minimum pour 49l de rangements -existe aussi en version pro. Enfin, pour être -encore- plus à l’aise ou embarquer la fratrie recomposée, voici le Trafic Combi : 3, 6, ou 9 places, celui-ci est modulable à souhait. Il existe même dans une version classe affaire (Space class), véritable lounge mobile tout confort. Plus qu’une automobile, la voiture est devenue une mini maison sur roues avec tous les éléments de confort et de technologie qui adoucissent la route. Il n’est plus qu’à choisir celle qui vous convient.   

Le constructeur américain né en 1925 porte le nom de son créateur, Walter Percy Chrysler. A l’origine, son logo était composé d’un symbole circulaire surplombé de deux ailes. En 1962, il a laissé place au Pentastar, un symbole à cinq côtés que Lynn Townsend, le président, voulait à la fois robuste et instantanément reconnaissable. Le logo entouré d’ailes est revenu sous sa forme actuelle en 2009, cinq ans avant l’intégration de la marque au groupe Fiat Chrysler Automobiles.

Cette Porsche 911 a une particularité : elle a été transformée en limousine. Aujourd’hui, elle a été mise en vente pour moins de 20 000 euros.

Certains crieront au scandale. D’autres loueront la créativité du designer. Aux États-Unis, une Porsche 911 transformée en limousine vient de réapparaître dans une vente aux enchères après avoir été abandonnée depuis des années. Elle est le fruit de l’imagination d’un lutteur japonais, Hiroaki « Rocky » Aoki.

Ce dernier avait fait l’acquisition de cette vieille 911 et, pour une raison non dévoilée, a décidé de l’étirer. Il est ressorti de ce projet une Porsche 911 limousine, probablement l’une des seules du monde. Le lutteur s’en est séparé en 2008 peu avant de décéder. Visiblement, elle avait fini par être complètement oubliée.

Deux Porsche 911 en une

Pour concevoir cette Porsche 911 en version limousine, le lutteur japonais s’est basé sur deux Porsche 911 Targa de 1974. Bien qu’il ne s’agisse pas du modèle du constructeur allemand le plus apprécié, les connaisseurs crieront sûrement au scandale. Ce qui n’a pas empêché Hiroaki « Rocky » Aoki d’aller jusqu’au bout de son idée.

Cette drôle de limousine s’est vue ajoutée un kit de carrosserie dans le style d’une Porsche 959 après que les deux Targa ont été découpées. Le plus original réside dans l’habitacle. Il comprend un lit, un lavabo et une banquette à l’arrière. Toutefois, l’ensemble se trouve aujourd’hui dans un piteux état.

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Cette Porsche 911 s’est vendue plus d’un million d’euros

Une mise en vente originale

Aujourd’hui, cette étrange Porsche 911 est conservée en Californie. Elle a été mise en vente sur le site Craiglist. Le compteur affiche tout de même 70 000 km, ce qui laisse supposer que son ancien propriétaire l’avait bien utilisée. Son prix n’est, bien évidemment, pas très élevé. Elle est proposée pour 16 600 euros.

Cependant, son futur acquéreur devra payer une restauration en plus de l’achat. Bien que la carrosserie et l’intérieur ne nécessite que de légères interventions, le moteur vient à manquer. Il semblerait qu’il ait été volé. Mais, le fait que le compteur affiche plusieurs dizaines de milliers de kilomètres prouve que le véhicule fonctionnait bien.