A la une cette dernière actualité : pourquoi les républicains ont désavoué Jim Jordan, un allié de Trump – L’Express

Voici le principal d’un post que nous venons de remarquer sur internet. Le thème va incontestablement vous plaire. Car le sujet est « l’automobile ».

Son titre saisissant (pourquoi les républicains ont désavoué Jim Jordan, un allié de Trump – L’Express) est évocateur.

Présenté sous le nom «d’anonymat
», le rédacteur est connu et fiable pour plusieurs autres textes qu’il a publiés sur le web.

Il n’y a pas de raison de ne pas croire du sérieux de ces informations.

L’éditorial a été publié à une date notée 2023-10-21 09:17:00.

L’article dont il s’agit :

« Nous sommes dans une très mauvaise passe. » Kevin McCarthy, l’ancien « speaker » de la Chambre américaine des représentants, le reconnaît : le Congrès américain s’enfonce encore un peu plus dans la crise. Les élus républicains, majoritaires à la chambre basse, ne soutiennent plus Jim Jordan comme candidat de leur parti pour la présidence de la Chambre.

Lors d’un vote à bulletin secret, vendredi 20 octobre, le groupe parlementaire a désavoué ce lieutenant de Donald Trump, qui a essuyé sa troisième défaite en quatre jours pour être élu au perchoir. Dans le détail, 25 républicains ont voté contre l’élu de l’Ohio.

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La veille, des parlementaires avaient demandé à Jim Jordan d’abandonner. Une vingtaine de républicains modérés reprochent toujours à cet élu pugnace des positions trop extrêmes, raison pour laquelle ils ont refusé de l’élire. « Il est devenu clair que l’élu Jordan ne possède pas et n’obtiendra pas les votes nécessaires pour être ‘speaker’ », avait d’ailleurs souligné, dans un communiqué, le républicain Tom Kean. Certains élus, après leur vote contre Jim Jordan, ont aussi affirmé avoir reçu des menaces de mort.

Une nouvelle réunion lundi

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Les républicains ont fait savoir qu’ils se réuniraient désormais lundi 23 octobre pour désigner un nouveau candidat. Mais les 221 parlementaires ne parviennent pas à s’entendre sur la figure du nouveau président. « Nous devons nous rassembler et déterminer qui sera notre chef », a affirmé après ce vote Jim Jordan, qui a confirmé qu’il ne se représenterait pas.

Selon le New York Times, une douzaine d’élus ont déclaré vouloir se présenter, ou sérieusement envisager de le faire. Il s’agit notamment de Tom Emmer (Minnesota), Byron Donalds (Floride), Kevin Hern (Oklahoma), Austin Scott (Géorgie) et Jack Bergman (Michigan).

Un Congrès paralysé

Le poste de « speaker » est vacant depuis la destitution historique de Kevin McCarthy, le 3 octobre, à la suite de divisions (déjà) entre républicains modérés et trumpistes. Depuis cette destitution, la Chambre basse n’a donc pas pu voter sur le moindre projet de loi. Par conséquent, le Congrès se retrouve paralysé.

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Ce blocage intervient à l’heure où le président américain Joe Biden vient de demander une énorme rallonge budgétaire de plus de 105 milliards de dollars pour aider les alliés israélien et ukrainien, et pour répondre aux arrivées de migrants à la frontière sud du pays.

« Nous devons débloquer la Chambre. Je m’attends à ce que le Sénat commence à travailler dès que possible sur l’enveloppe de sécurité nationale du président Biden », a déclaré à des journalistes Hakeem Jeffries, le chef du groupe parlementaire démocrate à la Chambre des représentants.

Des « intrigues de palais »

« Si la Chambre n’est pas débloquée, elle va s’enliser inutilement et des vies seront mises en danger. C’est une situation grave », a-t-il martelé. Pour sortir de la crise, Hakeem Jeffries a ainsi appelé à trouver un « speaker » qui résulte d’un choix venant des deux bords politiques. Selon lui, Jim Jordan était un « danger pour la démocratie ». « Il y a encore des républicains raisonnables de l’autre côté de la Chambre, des hommes et des femmes qui veulent que la Chambre reprenne du service », a-t-il assuré.

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Dans une institution encore marquée par l’assaut du Capitole, les démocrates dénoncent en effet le positionnement pour le moins ambigu de Jim Jordan sur la présidentielle de 2020, élection que Donald Trump qualifie encore, sans preuve, de « volée ».

Devant des journalistes, le gouverneur de Floride Ron DeSantis a quant à lui accusé vendredi les républicains de la Chambre des représentants de s’être engagés dans des « intrigues de palais » au lieu de « fournir des résultats », rapporte le New York Times. « Il est regrettable qu’ils ne parviennent pas à se ressaisir », a déclaré le républicain, candidat à la présidentielle de 2024.

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